lundi 21 août 2017

In Nomine Amoris


Il y a un feu qui me consume, au plus profond.
Enfermé dans le cloître de ma chair,
Par vos baisers, tel des brûlures insoupçonnées
Aux mille douleurs délicieuses.

Vos lèvres, déposées tel un présent,
Ont enflammées mon coeur.
Enchainées mes veines à vos rancoeurs,
Par les dérives obscènes de mon consentement.

Il y a un feu qui me consume, au plus profond.
Embrasé dans le cloître de ma chair,
Par vos caresses, tels des griffures encrées
Aux mille souffrances délicieuses.

Vos doigts, trempés me recouvrant,
Ont réveillés mon âme.
Enchainées mes peines à vos flammes,
Par les désirs androgènes de mes soupirants.


Il y a un feu qui me consume, au plus profond.
Encerclé dans le cloître de ma chair, 
Par vos soupirs, tels des promesses déposées
Aux mille angoisses délicieuses.

Vos êtres, allongés se figurant, 
Ont ébranlés mon corps.
Enchainées mes haines à vos efforts, 
Par les délires sans-gêne de mes diligents.

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